5/5 la bédé et les ados
Vendredi soir, j'ai eu mon workshop avec des adolescents (11 à 16 ans), ceux du Poble Nou, dans la ludothèque
où j'avais fait mon premier workshop.
Quartier difficile, adolescents difficiles, des problèmes avec la justice, mais t'en fais pas on sera là pour t'aider,
m'avaient dit les filles qui travaillent à la ludothèque. Tu parles !
Déjà, les collégiens, c'est tout petit, ça fait même pas peur. Et ensuite ils étaient trop dedans, trop sympas
et intéressés par ce que je pouvais leur dire et tout et tout.
Comme l'indique le titre de l'article, on a travaillé sur la bande dessinée. Je leur ai d'abord expliqué comment moi je
travaille pour mon ours – je me suis dit qu'à leur âge j'aurais été trop content d'avoir un vrai dessinateur de BD pour
m'expliquer un peu comment il fait, c'est quoi ces trucs, et j'avais plutôt raison. Moi, à Condé sur Ifs, personne
n'était venu pour parler de dessin.
Ensuite, on a fait un exercice assez simple, avec une situation de départ imposée, et deux personnages tirés au sort.
Et il y a eu de chouettes choses, notamment un conte où un chien rencontre la mort.
Le problème, encore et toujours, c'est le temps. On n'a pas eu du tout le temps de faire les planches entièrement,
alors je vais y retourner une heure lundi pour continuer/terminer. Bénévolement, oui madame !
C'est qu'ils ont vraiment dû me plaire, ces petiots.
'Tin c'est trop la honte, j'ai pas fait de photos, et j'ai presque que des photos où je suis dessus... arf.


"vous voyez dans Tintin la caméra elle bouge presque pas et puis les personnages sont toujours de la même taille
et puis bon, ils parlent tou le temps, aussi dans Koma (dessiné par Peeters) c'est vachement plus dynamique, y'a
des gros plans et tout, c'est carrément autre chose".
où j'avais fait mon premier workshop.
Quartier difficile, adolescents difficiles, des problèmes avec la justice, mais t'en fais pas on sera là pour t'aider,
m'avaient dit les filles qui travaillent à la ludothèque. Tu parles !
Déjà, les collégiens, c'est tout petit, ça fait même pas peur. Et ensuite ils étaient trop dedans, trop sympas
et intéressés par ce que je pouvais leur dire et tout et tout.
Comme l'indique le titre de l'article, on a travaillé sur la bande dessinée. Je leur ai d'abord expliqué comment moi je
travaille pour mon ours – je me suis dit qu'à leur âge j'aurais été trop content d'avoir un vrai dessinateur de BD pour
m'expliquer un peu comment il fait, c'est quoi ces trucs, et j'avais plutôt raison. Moi, à Condé sur Ifs, personne
n'était venu pour parler de dessin.
Ensuite, on a fait un exercice assez simple, avec une situation de départ imposée, et deux personnages tirés au sort.
Et il y a eu de chouettes choses, notamment un conte où un chien rencontre la mort.
Le problème, encore et toujours, c'est le temps. On n'a pas eu du tout le temps de faire les planches entièrement,
alors je vais y retourner une heure lundi pour continuer/terminer. Bénévolement, oui madame !
C'est qu'ils ont vraiment dû me plaire, ces petiots.
'Tin c'est trop la honte, j'ai pas fait de photos, et j'ai presque que des photos où je suis dessus... arf.


"vous voyez dans Tintin la caméra elle bouge presque pas et puis les personnages sont toujours de la même taille
et puis bon, ils parlent tou le temps, aussi dans Koma (dessiné par Peeters) c'est vachement plus dynamique, y'a
des gros plans et tout, c'est carrément autre chose".